Un des Projets de riz en Haiti en cours
- Bonjou tout moun. An fè la Kay Pi Bon. Jodi a se lendi 21 avril 2025, nap prepare de (2) hekta poun plante diri. Mèsi tout mounn.
- Si nou bezwen konnen plis sou projè sa oubien ou ta vle fè envestisman lajan w mache plis, kontakte Eddy Lahens lan nimewo 914 813 1316 oswa sou Whatsapp lan "Gwoup saj pou develope agrikilti nan depatman sant (RAPDEC).
- Si n mete tèt ansanb, na rive fè diri anpil pou pèp ayisyen an manje lè li vle.
Ann fè La Kay Pi BON
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Le saviez-vous ? Le produit le plus consommé en Haiti en tant que nourriture est le...
Le manioc
L'on persiste à dire ou à répéter que la moitié ou 50% de la population haïtienne est sous-alimentée
Le manioc (Manihot esculenta) est une espèce de plantes dicotylédones de la famille des Euphorbiaceae, originaire d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, plus particulièrement du sud-ouest du bassin amazonien[2],[3]. C'est un arbuste vivace qui est largement cultivé comme plante annuelle dans les régions tropicales et subtropicales pour sa racine tubérisée riche en amidon. Le terme « manioc » désigne d'ailleurs aussi bien la plante elle-même que, par métonymie, sa racine ou la fécule qui en est extraite.
On consomme généralement ses racines très riches en glucide et sans gluten, mais aussi ses feuilles en Afrique, en Asie et dans le nord du Brésil (pour la confection du maniçoba). Au nord et au nord-est du Brésil, le mot « farine » (en portugais farinha) désigne avant tout la farine de manioc, et non de blé. Cette farine n'a d'ailleurs pas l'aspect de la farine de blé : elle ressemble plutôt à une semoule sèche plus ou moins grossière de couleur allant du jaune vif au gris en passant par le blanc. Il s'agit en fait d'une fécule, mot plus adapté pour parler de la « farine » issue d'une racine.
On en distingue deux types de cultivars, amers et doux, qui diffèrent par leur concentration en hétérosides cyanogènes (servant de moyen de défense à la plante). Le manioc amer est impropre à la consommation s'il n'est pas soigneusement détoxifié, et ses racines séchées sont transformées en tapioca, en cassave ou en farine. Les racines de manioc doux peuvent être directement consommées.
Témoignages :
-"Vivant en Haiti, enfant je mangeais des légumes et un peu de viande, peut-être le dimanche." Les piskèt nous donnaient des proteines, miam miamm
-"On mangeait toutes sortes de fruits."
-"Le spaghetti est tellement cher, maintenant, et je n'arrive pas en trouver à cause des "bandits" qui bloquent les routes".
- Une personne de la diaspora: "Presque tout l'argent que nous envoyons en Haiti vont dans les coffres des monopolistes oligarques de la Dominicanie ou d'Haiti du fait que la population haïtienne consomment leur "garbage" et ignore les produits venant de la production nationale".
-Où sont nos agronomes haïtiens?, se demande un autre, pour aider les gens de la campagne. "N'a-t-on pas un département de l'Agriculture? Hmm.
Kreyòl sou manyòk
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